Par dans Enquet’Action.
En parlant de Carnaval 2024, deux positions s’affrontent. La première rejette les festivités, condamne et maudit ceux et celles qui y prennent part. La deuxième rejette la première, arguant que si les gens n’ont pas critiqué la 17e édition du Festival international de Jazz de Port-au-Prince, organisé récemment, ils ne peuvent pas (ne doivent pas), non plus, critiquer le carnaval. Cette dernière postule que les critiques contre les festivités carnavalesques visent directement des « malheureux » en quête de loisirs.